(Québec, 15 mars 1950 - ) Peintre autodidacte formée à Montréal et à Paris, mère de six enfants, Marie Roberge intercale les naissances, les voyages et les expositions. Entre 1982 et 2004, elle participe à des expositions individuelles et collectives au Québec, au Mexique et en France.

En 1986, elle a l’occasion de travailler avec Jean-Paul Riopelle.... Cette rencontre exceptionnelle pour un jeune peintre est à l’origine d’un essai, Le Carnet de Riopelle. Elle fait ensuite la connaissance de jeunes artistes graffiteurs dans la galerie qu’elle a fondée en 1999, devenant alors une féroce admiratrice de cet art mésestimé. Elle organise, au cours des années, plusieurs événements en lien avec cet art et écrit un essai, L’art sous les bombes.

En 2001, de retour d’Australie, où elle a eu le privilège de se rendre dans les communautés aborigènes pour entendre de la bouche des aînées les légendes de rêves, elle met sur pied Signes et Terre, une exposition échange avec des artistes amérindiens, en collaboration avec le centre de créativité du Gesù. Cette rencontre avec les Premières Nations inspire l’auteure pour son premier roman jeunesse, Dans le nid du faucon.Avec ce roman, elle remporte le prix Cécile-Gagnon en 2005 et est finaliste du prix Hackmatack 2006. Marie Roberge est membre de l'Association des écrivains québécois pour la jeunesse et de l'Union des écrivaines et des écrivains québécois et de l'Association des auteurs des Laurentides (AAL). Ses romans font partie des sélections Communication-Jeunesse de 2007, 2010 et 2011.

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