La fin de la Terreur fait entrer la Révolution dans une nouvelle ère. Au fil des luttes politiques, est renouvelé le projet de sortir de la Révolution par le droit et par la porte libérale. L'auteur souligne l'impossible rattrapage qui est alors tenté : réparations à l'égard des vaincus de la Terreur, répression de ses responsables tels Carrier et Fouquier-Tinville, recours à l'armée, entre autre.